
Abhishek Joshi, EDHEC-2021 est président du BDE Grande École. En dernière année de son parcours à l’EDHEC Business School, il a choisi le MSc in Global & Sustainable Business. Il nous parle de sa présidence et de la vie associative en temps de Covid.
Written on 22 oct 2020.
Je suis issu d’une classe préparatoire MPSI/MP au Lycée Sainte Marie à Antony. J’ai passé le concours Pré-Master (anciennement AST1).
L’EDHEC est une école prestigieuse. J’ai regardé son classement, le parcours des Alumni et le système associatif incroyablement riche. Je me projetais et savais que j’allais m’y épanouir.
Au-delà de l’excellence des cours, c’est la vie associative qui marque mon parcours. J’ai intégré le BDE dès ma 1re année en tant que responsable logistique des soirées mensuelles. Chaque association porte de fortes valeurs et des traditions qu’elles transmettent de génération en génération. Il règne un esprit de famille entre les membres des associations qui se traduit dans nos relations par les termes « frérot », « sœurette », « padre », « madre ». Il n’est d’ailleurs pas rare de se faire appeler « fiston » ou « fistonne » par des anciens voire très anciens diplômés lors d’événements internes. Un des faits marquants de mon parcours est évidemment d’être devenu président du BDE en 4e année par près de 200 personnes.
Mon premier stage s’est déroulé à Lille chez Le People en tant que manager et coordinateur d’événements. Puis j’ai rejoint Engie Milan comme Strategy Analyst. C’est cette dernière expérience qui m’a permis de choisir le Master of Science que je souhaitais poursuivre : le MSc in Global & Sustainable Business.
Beaucoup de responsabilités, le management d’une équipe de 50 personnes, la coordination de la vie associative de la Grande École, la gestion d’un budget de 700 000 €, faire face aux crises et à des risques. La co-présidence est assurée par Anne-Flore Berger. Être président du BDE, c’est aussi représenter les étudiants dans les différents conseils d’administration de l’EDHEC en lien avec l’administration de l’école. Être président du BDE, c’est grandir.
Le recrutement des associations a pu avoir lieu et nous faisons en sorte que la transmission des valeurs et des traditions passe par des transmissions digitales, en commençant par les trombinoscopes qui se sont digitalisées. Notre plus grand défi est d’imaginer plusieurs scénarios d’adaptation mais cela nous oblige à innover, à sortir des sentiers battus.